Principaux à retenir
- Shell a annoncé lundi qu’il avait abaissé son estimation de production intégrée de gaz intégrée au premier trimestre, citant un coup aux volumes de l’entretien imprévu.
- Le géant de l’énergie basé à Londres a déclaré que la production de gaz se situerait entre 910 000 et 950 000 barils d’équivalent pétrole par jour, «affecté par l’entretien imprévu, y compris en Australie».
- Les nouvelles perspectives interviennent alors que la société et son rival BP ont réduit les investissements dans les énergies renouvelables et se concentrent sur les combustibles fossiles.
Shell (Shel) a déclaré lundi qu’il avait abaissé son estimation intégrée de production de gaz intégrée au premier trimestre, citant un coup aux volumes de l’entretien imprévu.
Les actions ont chuté de plus de 4% au cours des négociations récentes, au milieu d’une baisse générale, les principaux indices ont subi les pertes de la semaine dernière à la suite de la dernière annonce tarifaire du président Donald Trump. (Lire Investivateur Couverture en direct de l’action du marché d’aujourd’hui ici.)
Le géant de l’énergie basé à Londres a déclaré lundi que la production de gaz au premier trimestre se situerait entre 910 000 et 950 000 barils d’équivalent de pétrole par jour, «affecté par l’entretien imprévu, y compris en Australie». Il avait précédemment projeté 930 000 à 990 000 barils par jour.
Shell a également réduit ses prévisions pour les volumes de liquéfaction au gaz naturel liquéfié au premier trimestre entre 6,4 millions et 6,8 millions de tonnes, de 6,6 millions à 7,2 millions de tonnes métriques auparavant.
Les nouvelles perspectives interviennent alors que l’entreprise et que BP (BP) rivalise réduit les investissements dans les énergies renouvelables et se concentre sur les combustibles fossiles. Shell a déclaré en mars qu’il prévoyait de développer son activité en amont et de gaz intégré de 1% par an jusqu’en 2030, un mois après que son rival BP (BP) a annoncé qu’il investirait davantage dans le pétrole et le gaz, dans un pivot de sa stratégie à faible émission de carbone.